« […] le jour est mort
Pour t’apprendre à vivre. »
La perspective est quelque chose que chaque personne expérimente à sa façon. Mais lorsqu’on en vient à celle de Samuel Goulet, on peut constater une vision mélangeant mélancolie et espoir. Ses textes coulent comme un flot et, dans un contexte de dualité, il aime jouer avec les figures d’opposition.
Étudiant de 23 ans qui aspire à une vie de poète, il a eu un parcours académique plutôt intéressant. Il faut dire que le début de ses études littéraires au collège Lionel-Groulx s’est fait sur un coup de tête, mais les plus belles expériences sont celles qu’on ne prévoit pas.
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